Qatar et Arabie saoudite, deux états terroristes au service de l’Occident
mars 19, 2012
par Allain Jules
Publié le19 mars 2012
Le Qatar semble oublier que la Jamahiriya arabe libyenne avait énormément investi en Europe, comme il le fait en France en ce moment, avant que la coalition des prédateurs ne s’en prennent à la Libye et à Mouammar Kadhafi avec des prétextes fallacieux.
On sait où sont passés les millions de dollars des fonds souverains libyens, simplement à renflouer les caisses du vieux continent en faillite et qui s’accroche sur ses guerres de prédations pour exister et résister face à la crise.
Avec des caniches comme dirigeants, l’effondrement du monde arabe semble être entrain de s’écrire petit à petit avec les têtes-de-pont de la Ligue arabe Honte arabe que sont l’Arabie saoudite et le Qatar. Sans vision, obscurcis par un manichéisme abscons, les deux leaders de ces pays, deux dictateurs imbus de leur petite personne, Abdallah ben Abdelaziz Al Saoud roi d’Arabie et le cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani, émir du Qatar, comprendront mais il sera trop tard, que les Occidentaux les prennent pour des huîtres.
On constate avec amertume que l’oligarchie arabe se conjugue aisément avec oligarchie des incapables.
Prompts à crier au loup quand il s’agit de la Libye ou de la Syrie, muets comme des carpes quand les dégâts concernent la Palestine, ce sont les mêmes qui sèment sans vergogne, aujourd’hui, le chaos en Syrie.
En armant les terroristes, ce sont les mêmes qui sont derrière les trois derniers attentats qui ont eu lieu samedi et dimanche à Damas (2) et à Alep (1). Tuer, terroriser, assassiner sont les ultimes syncrétismes de ces faibles, incapables de s’asseoir en face de leurs adversaires ou ennemis pour discuter. Leur seul but était le renversement du régime.
L’échec les mène donc à l’extrémisme après avoir tout refusé.
Image: AFP
Ce monde est formidable. En réalité, au lieu de Bachar al-Assad, ce sont plutôt ces souverains de pacotille, ces potentats qui pullulent dans ce monde arabe qui doivent laisser le pouvoir à des démocrates…