Conflit syrien : le chaos
janvier 7, 2013
Sans même examiner les propositions faites, hier, par le président Bachar al Assad, la coalition de l’opposition syrienne, installée à l’étranger, a rejeté dans le fond et la forme le plan de sortie de crise du Président syrien. Les chancelleries occidentales se sont aussi empressées de dénoncer la proposition d’Al Assad et leur franc soutien du rejet de la coalition.
Pour sa première apparition publique depuis sept mois, le chef de l’Etat syrien a, pourtant, proposé une solution politique à cette crise sanglante qui secoue le pays depuis 2011. D’emblée Bachar Al Assad a identifié les parties du conflit. Selon lui, le conflit meurtrier en Syrie n’opposerait pas son régime à l’opposition, mais la Syrie à ses ennemis qui souhaitent la partition du pays.
Dans un discours télévisé à partir de la Maison de la culture et des arts de Damas, le chef de l’Etat syrien a affirmé que l’Occident avait «fermé la porte du dialogue». M.Al Assad, dont le mandat s’achève en 2014, a rejeté l’idée de quitter le pouvoir mais propose que la transition se fasse «par des moyens constitutionnels», en allusion claire à l’organisation de possibles élections. Le Président a en outre appelé à un «dialogue national», pour lequel il a affirmé ne pas avoir trouvé jusqu’à présent de «partenaire». L’opposition qui conditionne effectivement tout dialogue par le départ d’Al Assad campe toujours sur cette position. Le Président syrien, de son côté, conditionne le dialogue et refuse de s’assoir à une table de négociation où seront assis des groupes armés financés et armés par l’étranger. «Voulez-vous que nous dialoguions avec des marionnettes de l’Occident, qui les a fabriquées et écrit leurs discours ? Il vaut mieux discuter avec l’original, pas avec des gens qui jouent un rôle sur les planches de la scène internationale», a-t-il poursuivi. La coalition de l’opposition syrienne, reconnue par l’Occident, s’est empressée de rejeter la proposition d’Al Assad. Dans une déclaration à l’agence de presse française, son porte parole, Walid al-Bounni, a soutenu que «lors de la formation de la Coalition nous souhaitions une solution politique, mais l’objectif est de le sortir du pays(le Président) et ils ont déjà perdu pour cela plus de 60 000 martyrs (…)
Selon lui, le discours de M. Al Assad s’adresse principalement «à la communauté internationale. Cette dernière a d’ailleurs réagit rapidement. Le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, toujours premier à s’exprimer sur la question, a estimé que le discours du président syrien, Bachar al-Assad, allait «au-delà de l’hypocrisie». «Il est responsable des morts, de la violence et de l’oppression qui engloutissent la Syrie et ses vaines promesses de réformes ne trompent personne». Son homologue allemand,M. Guido, considère qu’Al Assad n’exprime «aucune nouvelle prise de conscience» et a demandé son départ pour faire place à «un gouvernement de transition».
Le Premier ministre britannique, David Cameron, a, pour sa part, été plus virulent. «Partez: voilà mon message à Al Assad», avait déclaré le chef du gouvernement sur la chaîne BBC . «La quantité de sang qu’il a sur les mains est vraiment impensable», avait-il souligné. La messe est dite.
G. H.
Source : La Tribune (Alger)
6 janvier 2013
Malleureusement cet opposition à l´etranger elle ne veut pas une démocracie pour la Syrie, elle cherche si a deliverer la Syrie au controlle des sionnistes américans/ Israel,selon le plan établi pur la Maison Blanche américainne,et à sa place ils coloquereont une autre dictadure subordiné à la domination économique des sionnistes américans..
Cet opposition doit être ignoré et les partis sérieux et patriotiques à l´intérieur de la Syrie doit se former et participer aux élections.
L´ONU doit éxiger la pacification et interdiction du furnissement d´ armes et mercennaires, vennues d´autres pays autour de la Syrie, chargés par les Etats Unis/Otan en destabilizer la Syrie.
C´ est le devoir de l ´ONU, de le faire, en envoyant des troupes pour aider le gouvernement élu democratiquement, cas contraire, la Russie après l ´éléction démocratique, avec tous les partis à l ´interieur, qui veut participer démocratiquement ira le faire dans la balle, envoyant tous ces traites et mercennaires, pour l ´enfer sans pitié, et les pays pro-sionnistes comme la France, Anglettaire, Etats Unis, Turquie et tout ses vasseaux,au moyen Orient, qui ne respecteront les élections du peuple syrien,supervisinnés par l ´ONU, iront tous faire compagnhie au démon, son pére, das une troisième guerre mondiale.personne à peur, ces maudits ils savoir, qu´iront tous pou les profondeurs du brasier terrestre, plus connu comme enfer(lol), cas ils continnuent à massacrés les peuples du monde entier.
Avec le refus de la coalition fantoche de négotier, il ne reste plus à Bashar qu’une solution: éliminer sans pitié tous ces terroristes, d’en détruire toutes les semences afin qu’ils ne puissent plus se reproduire. Il n’a plus le choix. Et ce refus est déjà une occasion pour nous de voir qu’Al-Khatib suit les ordres venant de l’extérieur. Et en ce qui concerne Cameron, honte à lui. Ce macabre personnage oublie qu’il a lui même les mains tachées de sang libyen, afghan et j’en passe.
J´espère qui la Russie, la Chine, cette fois, ne laissent pas les EUA/OTAN-(les pays vassalles des sionnistes américans), faire ce qu´ils veut avec les pays plus faibles, pour predre controlle de leurs richesses mineralles,
Jusqu´à mainteanint ont voit les américans desréspecter les lois internationaux, et personne du monde entier, fait un boicotte économique contre ces démons.
La complicité de grand nombre de politiciens, au fermer les yeux aux actions terrorristes des américans. et de l ´OTAN, en ne pas les empecher ces abuses vas détruire le monde..