Quand on joue avec des allumettes,
parfois, on met le feu à sa propre maison.
    Bonjour à toutes et à tous,
Ces deux journalistes étaient-ils vraiment journalistes, ou bien étaient-ils des espions déguisés en journalistes ? En tout cas, ils ont été enlevés dans une zone encore contrôlée par les terroristes islamistes anti-Bachar !
La télé a dit que les deux journalistes avaient quand même pu être enlevés par un commando d’agents de Bachar el-Assad dissimulés dans cette région. Ce n’est pas impossible, surtout si, après l’opération de propagande montée de toute pièce par Le Monde et l’agence CAPA au sujet du gaz sarin, l’État syrien a obtenu des renseignements à leur sujet comme quoi ils étaient des espions.
Mais la télé a dit aussi qu’ils avaient été enlevés à un check point. Or dans cette région, ce check point était forcément tenu par des mercenaires islamistes stipendiés par l’impérialisme américano-sionistes. Mercenaires souvent liés à al-Qaïda, comme on le sait maintenant très officiellement, puisque le pouvoir n’ose même plus essayer de nous le cacher.
Par conséquent, le plus probable, c’est que les journalistes aient été enlevés par al-Qaïda en Syrie (Front al-Nosra).
Quand on joue avec des centrales nucléaires, il arrive parfois qu’on en perde le contrôle et qu’elles nous pètent à la gueule, comme à Three Miles Island en 1979 aux USA, à Tchernobyl en 1986 en URSS ou encore tout récemment à Fukushima au Japon.
Mais quand on joue avec le terrorisme, il arrive d’en perdre le contrôle encore bien plus souvent qu’avec les centrales nucléaires !
Cette histoire de « journalistes » enlévés en Syrie semble bien montrer que l’Occident a perdu au moins partiellement le contrôle d’al-Qaïda.
Je souhaite me tromper. Je souhaite que ces journalistes aient été enlevés par des agents de l’État syrien et pas par al-Qaïda. Car s’ils ont été enlevés par l’État syrien lui-même, alors la France devra négocier avec des êtres humains ; sinon, il lui faudra négocier avec des monstres arracheurs de coeurs et mangeurs de chair humaine ! :
    Bien à vous,
do
7 juin 2013