Incapables de faire leur volonté en Syrie, ils sont “vert de rage”.
août 13, 2012
Publié le 13 Août 2012
Je ne vous apprends rien, l’information est devenue une arme de guerre. Ainsi, les Occidentaux usent et en abusent, pour tromper la masse lobotomisée. Hélas, malgré leurs mensonges et leur violence, rien n’y fait. Assad est en poste et vient de recevoir un autre soutien de poids, la Corée du Nord. Ne vous inquiétez pas, la bête immonde va poursuivre sa destruction de la Syrie en s’appuyant sur les médias-mensonges qui lui servent de caisse de résonance.
Quand les médias dominants vous disent qu’à Alep des combats féroces s’y déroulent et que l’armée syrienne bombarde intensément la ville, comprenez simplement que leurs poulains sont en grande difficulté et qu’ils (les journalistes) ont reçu des ordres pour ne pas dire la vérité. En réalité, s’il y a des escarmouches à Alep, il s’agit de déloger des extrémistes qui ont juré de mourir les armes à la main. Ces derniers, qui se sont inflitrés parmi la population civile dans les quartiers, vivent leurs dernières heures. Lorsque l’armée arrive pour fouiller ledit quartier, dénoncés par le peuple d’Alep qui ne veut pas de cette guerre, ils sont toujours les premiers à tirer. C’est le cas à Alep où l’armée ratisse large dans les quartiers pour rétablir l’ordre. Le reste de la prose et les discours occidentaux selon lesquels les “rebelles”, ces terroristes, tentent de reprendre leurs bastions perdus, ne sont que des salmigondis.
Quand Le Figaro dit ceci:
Divisions, impuissance, paralysie: les initiatives de la communauté internationale sur le dossier syrien échouent les unes après les autres. La crainte d’un embrasement de la région, le blocage du Conseil de sécurité par la Chine et la Russie, le soutien de l’Iran au régime de Bachar el-Assad font capoter les initiatives des Nations unies – d’ailleurs plutôt désunies – les unes après les autres.
Il omet de dire que si tout a capoté, c’est de la faute de la soi-disant “communanuté internationale” qui avait, avant toute discussion sur la Syrie, exigé le départ de Bachar Al-assad. Victimes de la falsification libyenne où, la résolution 1973 était devenue en l’espace d’une nuit “il faut tuer Kadhafi”, Russie et Chine ont dit non.
Quand Le NouvelObs écrit ceci:
Les rebelles opposaient dimanche 12 août une résistance farouche aux troupes du régime à Alep, bombardée sans relâche par air et terre, de même que dans d’autres villes de Syrie ensanglantées par les violences.
Comprenez qu’il n’a rien à dire. Comment résistent-ils ? Ils ripostent ? Quoi donc ? Il serait plus convenable de dire où ces derniers résistent réellement et quelles sont leurs actions sur le terrain. Vide sidéral, que des mensonges!
La réalité du terrain est autre. Mais alors, que fait l’armée syrienne à Damas, Alep ou Homs contre les bandes armées ?
Il s’agit d’opérations ciblées et spécifiques, pour capturer ou mettre hors d’état de nuire les terroristes. C’est ainsi que ces derniers essuient des pertes indicibles. Même le fameux OSDH, l’organe propagandiste et salafiste des Frères musulmans syriens, n’arrive plus à s’exprimer tellement la panique gagne les rangs. C’est ainsi qu’à Damas, avec l’aide des populations, le plus important terroriste du groupuscule al-Nosra, Mohammad Majdalawi, a été liquidé tôt hier matin. Il faut rappeler que al-Nosra a toujours revendiqué ses attentats, notamment celui qui avait tué plus de 50 innocents à Damas. A Alep, les terroristes sont défaits dans tous les quartiers. Il faut noter que la capitale économique syrienne est la plus grande métropole du pays où,compte tenu des civils, l’armée syrienne prend des précautions et avance avec méthode et précision.
Paris ne s’est pas construit en un jour et,par conséquent, l’éradication de la vermine terroriste ne se fera pas en un jour. Incapables de faire leur volonté en Syrie, les Occidentaux sont “vert de rage”, d’autant plus que le fameux carnage qu’ils appelaient de leurs voeux n’a jamais eu lieu à Alep. Ah, il y a résistance farouche ! Mais, toute honte bue, ces gens ont l’outrecuidance de parler d’échec de la diplomatie…