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Sur l’expérience acquise du Hezbollah dans la lutte sur le terrain…


Sur l’Orient le Jour du lundi 14 à mardi 15
simone lafleuriel-zakri

Sur l’expérience acquise du Hezbollah dans la lutte sur le terrain…

15/04/2014
Juste un extrait ….

« Le Hezbollah, qui avait fait ses premières armes contre l’armée israélienne dans le sud du Liban, a parachevé sa formation en acquérant contre les rebelles en Syrie une précieuse expérience de lutte antiguérilla, écrit Sara Hussein de l’AFP.
Sa stratégie et son vocabulaire ont changé depuis 18 mois. Il était le gibier que « l’ennemi sioniste » cherchait à abattre avec ses chars et ses avions. Il est devenu chasseur de « takfiri », terme désignant dans son vocabulaire les extrémistes sunnites hostiles à Bachar el-Assad.
« Une nouvelle génération de combattants du Hezbollah apparaît en Syrie. Ils sont devenus très bons dans la tactique de petites unités capables de s’adapter sur le terrain face à des ennemis en chair et en os », explique Andrew Exum, ancien responsable au ministère américain de la Défense.

Selon les estimations, le Hezbollah compte au moins 5 000 combattants en Syrie, auxquels s’ajoutent les milliers d’autres qui reçoivent au Liban une formation militaire et se préparent à se déployer sur le terrain.

Les responsables du mouvement affirment avoir reçu tellement de demandes d’engagement qu’ils n’ont plus besoin de campagne de recrutement.
Après une enquête sur la personne et sur ses connaissances religieuses, la nouvelle recrue suit une formation au Liban. Selon des combattants, ce premier contact se déroule dans la région de Baalbeck ou dans des villages chiites du Sud et dure entre 40 jours et trois mois.
Plus tard, certains partent en Iran suivre une formation de deux mois pour occuper des postes de commandement ou se spécialiser dans les armes lourdes.

« En 2006, l’ennemi était clairement identifié : c’était Israël. Mais en Syrie, ils sont multiples (les jihadistes) de l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL ou Daech) ou ceux du Front al-Nosra, de l’Armée syrienne libre (ASL) », confie le combattant Abou Ali.
« Ici, nous connaissons parfaitement notre terre, mais en Syrie, le terrain ne nous est pas familier et en plus il est vaste et divers : il y a du désert, de la montagne et des vallées », explique ce quadragénaire…….

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