Le ministre des Affaires étrangères,
Laurent Fabius, a accusé ce soir le régime de
Bachar el-Assad d’
avoir utilisé à au moins une reprise du gaz sarin en Syrie, soulignant qu’une « ligne a été franchie et que « toutes les options sont sur la table ». « Nous n’avons aucun doute sur le fait que les gaz ont été utilisés (…). La conclusion du laboratoire est claire: il y a du gaz sarin », a affirmé le chef de la diplomatie à France 2. Il a évoqué des échantillons provenant de journalistes du quotidien
Le Monde mais aussi d’une autre source qu’il n’a pas précisée. « Dans le deuxième cas, il ne fait aucun doute que c’est le régime et ses complices puisqu’on a l’intégralité de la chaîne, depuis le moment où l’attaque a lieu, le moment où les gens sont tués, où on a les prélèvements et où on les fait analyser », a expliqué Laurent Fabius. »Il y a une ligne qui est franchie incontestablement. Nous discutons avec nos partenaires de ce qu’il va falloir faire et toutes les options sont sur la table. Ou bien on décide de ne pas réagir ou bien on réagit, y compris d’une façon armée, là où est produit, où est stocké le gaz », a-t-il souligné. « Nous n’en sommes pas là », a-t-il toutefois nuancé.
« Il faut à la fois réagir et en même temps ne pas bloquer la conférence éventuelle de la paix », en référence à la conférence internationale « Genève 2 » initiée par Washington et Moscou pour ouvrir des négociations entre les belligérants syriens. Les Occidentaux, Barack Obama en tête avaient fait de l’utilisation d’armes chimiques par le régime de Bachar el-Assad une « ligne rouge » à ne pas franchir, mais se sont montrés plus prudents par la suite. La Commission d’enquête de l’ONU sur la Syrie a dénoncé mardi l’usage de « quantités limitées d’agents chimiques » dans au moins quatre occasions en Syrie, en mars et avril, dans son dernier rapport devant le Conseil des droits de l’homme, sans pouvoir identifier précisément la nature de ces agents ni leurs utilisateurs.
Le sarin est un puissant gaz neurotoxique, inodore et invisible. Outre son inhalation, le simple contact avec la peau de ce gaz bloque la transmission de l’influx nerveux et entraîne la mort par arrêt cardio-respiratoire. La dose létale est d’un demi-milligramme pour un adulte.
Quelqu’un y croit? Où sont les preuves?
LAURENT FABIUS, ENTRE IRRESPONSABILITÉ ET ORDURE
Nous venons d’entendre les déclarations de Laurent Fabius, ministre français des affaires étrangères, invité ce soir de David Pujadas au Journal de 20 heures de France2.
Celui-ci prétend détenir les preuves intangibles de l’usage de gaz sarin par l’armée de Bachar Al Assad, et remercie le journal « Le Monde » pour ses « révélations. Pourtant, quand David Pujadas lui pose la question de ses assurances sur la responsabilité du régime syrien, il devient évasif et s’empresse de « botter en touche » prétextant la proximité « de la conférence sur la paix » à laquelle on (la France) travaille prétend-il, et à la tenue de laquelle il n’entend pas nuire. Ainsi l’homme au visage crispé réalise-t-il le tour de force d’allier dans une même phrase, l’ordure de déclarations fracassantes in-vérifiées à la bassesse d’une ruse de sioux sénile.
Nous l’avons dit dans un précédent article, les prétendus journalistes « indépendants » du « Monde », n’ont pas fait en la circonstance le travail d’enquête et d’investigation qui incombe à des journalistes, mais celui des « services actions du renseignement » et de la provocation internationale. Si ceux-là sont salariés du journal « le monde » Il y a gros a parier qu’ils émargent également du côté de la « piscine ». Et ce sont ces révélations, tellement sujettes à caution que même la maison Blanche les a reçues avec dédain, que le ministre prend à témoin de sa bonne foi et de son sérieux. Quant à dire qu’il ne veut pas être trop précis dans ces accusations pour ne pas nuire à la conférence « Genève 2 » cela relève de la pire ignominie. François Hollande, Laurent Fabius, la diplomatie française, ne travaille pas à la préparation de « Genève 2 », toute leur énergie, toute leur malignité, ils l’emploient au contraire à faire en sorte que celle-ci n’ait jamais lieu.
Laurent Fabius prétend qu’il n’en dit pas trop pour ne pas nuire à la tenue de la conférence. Mais alors, pourquoi avoir commencé à le dire ? Si, et il insiste là-dessus, l’usage d’armes chimiques est « la ligne rouge à ne pas franchir », si elle a été franchie par le régime légal, alors « c’est la guerre », pourquoi vouloir sauver la conférence ?
Non la diplomatie française ne veut pas sauvegarder la perspective de la conférence Genève 2, elle veut l’annuler, la faire capoter, c’est pourquoi elle instille le poison de la « désinformation », a, et aura recours à moult autres stratagèmes, mais elle prétend publiquement travailler tout de même à la préparation de la conférence pour ne pas prendre tout à fait à contre-pied Barak Obama et la diplomatie américaine.
La France ne veut pas de la conférence pour la paix. La France veut la guerre, nonobstant les périls. Il se pourrait même que la France souhaite l’assassinat de Bachar Al Assad comme elle a couvert et applaudit à celui de Kadhafi. Il y a à cela une raison bien établie que nous avons identifiée et expliquée précédemment. « Bien imprudente, la France a reconnu la première le CNS comme seul représentant légal du peuple syrien. Elle s’est » « coupé tout chemin de retraite. De telle sorte que la défaite du CNS ou le maintient de Bachar al Assad au pouvoir en Syrie, la survit de celui-ci équivaudrait à un désastre diplomatique pour celle-ci. », dans tout le Moyen-Orient et le monde « arabo-musulman ». Pour conjurer ce risque Hollande et Fabius ne se sont ménagée qu’une option, celle de la fuite en avant et de l’irresponsabilité.
Patrick Seignon. « lavoiedessansvoix.fr » 4 juin 2013.
La Preses et Tv françaises sont aux mains des sionistes. Les français reçoivent the mensonges sur la Syrie. La
France est en train d´ armer des terroristes de l ´Al Qaïda et Al Nosra, qui tuent des milliers de civils de Syriens avec leur politique de terreur, obligeant les civils a adhérer dans leur lute contre le gouvernement, ceux qui on refusent sont accusés d´être supporters of the regime, et sont exécutés par ces barbares assassins.