Selon « Ad-Diyar », journal libanais, le Qatar et le Mossad travaillent à un projet visant à assassiner le président d’un État souverain, à savoir, Bachar al-Assad!

 

« Le Qatar aurait promis à Israël de lui livrer, pendant deux ans, du gaz gratuit, s’il aidait à l’élimination d’Al-Assad ». Le projet aurait été évoqué, lors des rencontres, à Tel-Aviv, entre le Premier ministre qatari et son ministre des A.E avec le chef du Shin bet. A cette réunion, avait été convoqué le chef du Mossad. Il aurait été interrogé sur la faisabilité du projet d’assassinat et les participants aurient, finalement, conclu à un plan multi-dimentionnel.

 

En voici, selon « Ad-Diyar », les moyens qui pourront être tentés, pour tuer Assad :

– une première tentative pourrait consister à rapprocher la « garde rapprochée » d’Assad et à y trouver les officiers sunnites trop zélés et à les convaincre de tirer en direction d’Assad

– les agents pourront, également, voir du côté des virus mortels. Un virus pourrait être introduit sur la paume de la main d’un des proches du président -lui même vacciné contre ce virus, le germe pourrait être transmis à Assad, lorsqu’il serrerait la main de ce proche

– l’empoisonnement est un autre moyen tout comme le soudoiement d’un haut officier qui, une fois acheté moyennant des millions de dollars, déposerait une bombe à l’entrée du palais présidentiel au moment où Assad y entre.

– les participants ont également pensé à utiliser les mercenaires déployés non loin de l’aéroport de Lattaquieh et à leur demander de tirer des missiles Stinger en direction de son véhicule alors qu’il s’apprête à gagner son village à Lattaquieh, ce qu’il a l’habitude de faire tous les jeudis et vendredis.

« Ad-Diyar » affirme que Netanyahu est loin d’être convaincu de la nécessité de l’élimination d’Assad; une élimination qui pourrait « influer de façon négative sur Israël et sa sécurité ».

« Le Qatar est prêt à fournir, pendant deux ans, du gaz naturel gratuit à Israël et de l’essence bon marché ». Netanyahu aurait rétorqué : « et si Israël élimine Assad, le Conseil de Coopération reconnaitra-t-il Israël? »  La question serait restée sans réponse.