Les récits des aventures rocambolesques et ambiguës des terroriste
août 27, 2012
Publié le28 Août 2012
par Allain Jules
Le conflit syrien est devenu un agrégat de toutes les nationalités arabes et des musulmans, du moins sur le terrain, contre le peuple syrien. La plupart des terroristes arrêtés lors des combats, révèlent de jour en jour que la tâche de l’armée arabe syrienne sera ardue, pour rétablir la paix et la sécurité dans tout le territoire. Selon des sources militaires que nous avons pu obtenir, les récits sont vraiment hallucinants. L’armée syrienne fait face à des monstres froids, des personnes sans vergogne, ni foi ni loi. C’est “le djihad” disent-ils et par conséquent, en tant que musulman, c’est une obligation. Fanatisés, robotique à souhait, certains imams leur disent certainement de crier “Allah Akbar”, pour être sauvé, ou pour qu’il entende leur voix et leur garantisse les fameuses vierges. Ah, histoire de sexe.
Nos amis terroristes racontent des choses invraisemblables aux militaires syriens. Nous avons une tonne de témoignages mais, nous ne pourrons jamais les diffuser tous. Des histoires loufoques comme celle de ce Libyen venu de Misrata font sourire, pleurer de rage et surtout font pitié. Il commence son récit avec un aveu :
“Désoeuvré, parce que les nouvelles autorités libyennes n’ont pas tenu leur promesse, je suis venu ici pour combattre l’infidèle (Bachar Al-Assad ndrl), parce que le chiisme est plus nocif que le sionisme. Je fais partie du bataillon du “dix-septième Février”. Rassurez-vous, je ne suis pas ici pour de l’argent mais pour l’amour de Dieu.” C’est vrai, pour venir, j’ai été rémunéré et cet argent je l’ai laissé à ma famille en Libye.
Quel idiot !
Et ce témoignage encore plus cocasse, de ce tunisien, probablement financé par le parti des mes amis Ennahada.
“J’ai été recruté à Bizerte. On m’a dit que je pouvais faire beaucouip d’argent donc, je n’ai pas réfléchi. Avec l’argent qu’on ma donné, j’ai acheté ma propre kalachnikov à Antioche, en Turquie, où je me suis entraîné pendant 1 mois. Mais, plusieurs fois, nos compagnons de route, souhaitent que vous laissez la peau, pour récupérer votre arme. C’est ainsi qu’un de nous est décédé à Alep, et sa mort en a causé deux autres, qui discutaient son arme. J’avoue que je regrette d’être venu. Les seules instructions qu’on nous donne, c’est de faire le plus de victimes, sans distinction de sexe ou d’âge. Ne connaissant pas la ville, j’ai été obligé de combattre, parce que je ne pouvais m’échapper”.
Et encore et encore. Nous poursuivrons cette série une autre fois…
Damas : L’armée syrienne confirme que son appareil abattu hier matin à Damas, est bien l’oeuvre des terroristes. A propos de cet hélicoptère donc, c’est l’oeuvre d’un terroriste libyen. Il a été à son tour abattu par l’armée syrienne.
Toujours à Damas, du moins à Jaramana (sud-ouest de la ville), les terroristes ont tenté de faire exploser une bombe. Seule la voiture dans laquelle était posé la charge explosive est endommagé. Un attentat raté, fait dans la précipitation car, l’”étau tchétchène” fait des ravages dans leurs rangs.
Homs : L’armée syrienne affirme avoir tué plus de 70 terroristes, et autant capturés. C’est vraiment la bérézina du côté des amis de Barack Obama. L’étau s’est tellement resseré sur eux, qu’il n’arrive même plus en mettre en branle leur bombinette.
Alep : L’armée syrienne est entré à Al-Bab, quartir populaire tenu encore par les terroristes, qui s’étaient réfugiés -une très mauvaise idée-, dans un magasin de munitions. Ils tentaient visiblement de prendre, que dis-je, piller ces dernières quand l’armée n’a eu qu’à allumer une bougie. C’est allégorique. Vous pouvez imaginer la suite. De nombreux corps calcinés, jonchaient la dévanture dudit magasin. Ils n’ont pas pu s’échapper.
Toujours à Alep, l’armée arabe syrienne a définitivement pris le contrôle intégral des quartiers très importants de al-Amiria et Tal al-Zarazir. Les youyous des femmes et des bisous par milliers ont accueilli leur entrée triomphale.
Selon des cables diplomatiques, face à la saignée de leurs protégés, Paris, Washington et Londres, reconnaissent à demi-mot qu’il n’y a aucune solution militaire en Syrie, pour faire partir Bachar Al-Assad. “Ses forces armées sont puissantes et fidèles, son aviation redoutable, nous risquons plutôt de faire que toute la région s’embrase”, a reconnu un diplomate, en gardant, bien sûr, son anonymat. Mais, les fous sont capables de tout. Ruse ? Tout est possible, nous attendons ce qui se dira le 31 août prochain, à l’ONU. Mais, de sources sûres, des tensions semblent apparaître, notamment, entre le Qatar qui traverse, en Syrie, tout comme son équipe Al-Qaïda FC ex PSG, une crise profonde, avec l’Occident qui l’accuse d’avoir vendu la peau de l’ours avant de l’voir tué. Eh, oui, l’argent n’achète pas tout…