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Obama renonce à assassiner Bachar al-Assad, Fabius appelle à sa mort !


Publié le 18 Août 2012

par Allain Jules

 

Bashar al-AssadBashar al-Assad

Incroyable mais vrai !

C’est bien la première fois, depuis que la France existe, que sa diplomatie est devenue une diplomatie bancale-on le savait avec Nicolas Sarkozy-, mais plus encore, guerrière avec un ministre fou. Quelle idée encore de François Hollande ! Il est inconcevable qu’un ministre de la République, ait un langage aussi martial. Le mollah milliardaire Laurent Fabius, l’homme du sang contaminé et agrégé ès hémophilie, J.M. Weston aux pieds, durant sa tournée chez ses amis génocidaires, a osé l’impensable.

C’est simplement pathétique et nos médias, dans un silence complice ne reprennent que ses propos sans gêne et sans gêne. Vous me suivez ? C’est la coalition des sans-gênes. Le premier n’est pas gêné de prononcer ces mots qui sont un appel au meurtre, et les seconds tels des caisses de résonance publient ces mots sans dire leur indignation devant des propos aussi violents. Le pouvoir rend fou. D’ailleurs, accepter de devenir ministre des Affaires étrangères après avoir été Premier ministre sous un autre Gouvernement comme le fit Alain Juppé, est ridicule. Il faut vraiment être grisé par le pouvoir pour s’y prêter.

Pour le ministre, se justifiant sur son appel au meurtre, il n’avait jamais entendu de tels témoignages. C’était dans le camp des réfugiés à la frontière syro-turque. Après avoir pris son bâton de pèlerin pour déverser son fiel, mentir comme un arracheur de dents, le voici rendu à l’innommable. Il faut savoir lire entre les lignes. Quand Fabius dit : «Assad ne mériterait pas d’être sur la Terre», il demande explicitement l’assassinat de Bachar al-Assad. Il suffit de se focaliser sur toutes ses déclarations morbides et mortifères de sa tournée guerrière, pour s’en convaincre. 

 Les espoirs perdus de Barack Obama, le nègre de maison.

Or, dans le même temps, le président américain Barack Obama aurait renoncé à faire assassiner le président syrien Bachar Al-Assad, craignant qu’un départ brutal ne radicalise ses partisans et embrase la région. Surtout que, personne ne sait où les sites des armes chimiques du régime Assad sont cachées, d’où l’intelligence du président syrien. Que ce soit le général Tlass ou le fugitif et éphémère Premier ministre, n’ont pas été des secours pour les agresseurs de la Syrie. Alors, des discussions entre Obama et ses conseillers ont commencé.

Ces discussions secrètes partent du postulat que les forces de sécurité du Président Bachar al-Assad se désagrégeraient et que ces sites se retrouveraient vulnérables aux pillages, et qu’ils ne pourraient pas, non plus être sécurisés ou détruits, par de simples bombardements aériens, en raison des risques pour la santé et l’environnement. 

Alors, finalement, le président américain est entrain de constituer une équipe qui descendra aussitôt en Syrie, une fois que le Régime Assad tombera. Bien sûr, c’est un scénario concocté par eux et rêvé. Encore faut-il qu’il se matérialise dans les faits. Et là, c’est une autre paire de manche. Les choses vont de plus en plus mal pour les terroristes. Nous y reviendrons dans la journée. Remarquez, aucun média n’en parle. L’heure est grave, d’où la fébrilité de Laurent Fabius, et la prudence de Barack Obama.

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